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Marvin Laboureur, logisticien au déconditionnement

Ils sont près de 165 membres du personnel de l’UNamur à s’être portés volontaires, début mars, pour prêter main forte au formidable travail réalisé au sein du laboratoire SANA. Chercheurs, logisticiens, techniciens et volontaires aident au dépistage massif et systématique du COVID-19. Portrait de Marvin Laboureur. Au sein de SANA, il est logisticien au déconditionnement.

 

Marvin Laboureur a 26 ans, il travaille au sein du Département de chimie (Faculté des sciences). Il suit actuellement un doctorat en entreprise avec Stûv S.A., subventionné par le SPW. Sa thèse porte sur la diminution des émissions de COV (composé organique volatil) produit lors de l’utilisation des poêles à bois comme lors de leur production.

 

Qu'est-ce qui vous a motivé à rejoindre SANA ?

« Participer au projet SANA était pour moi l'occasion de prendre part à une belle initiative. Dès que l'appel aux volontaires a été lancé, j'ai répondu présent car c'était l'opportunité de pouvoir aider à mon échelle ». 


En quoi consiste votre rôle au sein du projet exactement ?

« Je travaille comme logisticien au déconditionnement dans une équipe de 3 personnes. Notre travail consiste à la préparation des écouvillons pour l'étape d'inactivation. Depuis l’accueil du laboratoire, on reçoit les paquets contenant les échantillons et les bons de commande qui y sont associés. Nous déballons ces paquets, nous apposons le numéro de tracking SANA sur le bon de commande et sur l'écouvillon pour assurer un suivi. Les écouvillons sont ensuite centrifugés et acheminés vers l'équipe d'inactivation, et les bons de commande correspondant partent quant à eux vers l'encodage. Je suis de garde les vendredis, les samedis et les dimanches pour une durée d'environ 2h par jour. La charge de travail varie donc en fonction du nombre d'échantillons qui arrive à l’accueil ». 


Que vous apporte le travail pour SANA ?

« En plus de m’apporter la satisfaction de me sentir utile en cette période, cela me permet aussi de rencontrer des personnes que je n'aurais pas eu l'occasion de croiser dans d'autres circonstances. L’ambiance au sein du laboratoire est bonne, c'est chouette de pouvoir discuter avec les collègues du projet et de sortir de sa routine quotidienne ». 


Avez-vous un message à faire passer aux membres du personnel, aux étudiants ?

« Je souhaite bon courage aux étudiants, assistants et professeurs pour la session « exceptionnelle » d’examens qui s’annonce ! »